L'OBD II (On Board Diagnostic ou Diagnostique embarqué)
Naissance de l'OBD
Afin de réduire la pollution de l’air due au trafic routier, le « Groupe californien sur les Ressources de l’Air » (CARB) a introduit en 1988 avec OBD (diagnostiques intégrés) des limites d’émissions strictes et un auto-contrôle (OBD) des émissions des composants significatifs grâce à des équipements électroniques. Afin d’informer le conducteur d’un disfonctionnement du circuit de contrôle des émissions vérifié par l’OBD, un signal lumineux d’erreur a été installé sur les véhicules (ILD : Indicateur Lumineux de Disfonctionnement).
L'E OBD et le J OBD
En Europe, la directive 98/69EG ordonne que les voitures essence soient équipées avec ODB depuis 2000, les voitures diesel depuis 2003 et les véhicules industriels depuis 2005. L’interface standardisée OBD2 n’est pas seulement utilisée par les constructeurs automobiles pour leur propres diagnostiques de longue durée, mais également par ceux qui dépassent largement les limites légales.
Les véhicules utilitaires et les véhicules GPL/GNL sont concernés au 1 janvier 2007.
Au Japon, c'est un système similaire, le J-OBD, qui est utilisé.
L'OBD II
Depuis 1998, les systèmes OBD des véhicules légers ont été normalisés et développés pour permettre la surveillance de la plupart des systèmes antipollution. Ces systèmes OBD modernes, appelés OBD II, sont maintenant réglementés.
La normalisation a été fondamentale. Règle générale, peu importe le type de véhicule, les systèmes OBD II surveillent maintenant les même composants, utilisent le même langage informatique et appliquent les mêmes critères pour évaluer les systèmes et signaler les problèmes au conducteur et au technicien en réparations.
Le système OBD II surveille les systèmes antipollution et les principaux composants du moteur. Quand un problème susceptible d’entraîner une hausse notable des émissions atmosphériques est décelé, le système OBD fait s’allumer un témoin d’anomalie dans le tableau de bord, le Malfunction Indicator Light (MIL), pour indiquer au conducteur qu’il doit faire vérifier son véhicule par un technicien en réparations. Le système OBD peut surveiller le bon fonctionnement de plus d'une dizaine de dispositifs antipollution en effectuant des vérifications continues ou périodiques de l’état du véhicule et de certains composants.
OBDIII
Qu'en est-il de l'OBDIII? Pour ce qui est de OBDIII, présentement cette norme n'est qu'en phase de discussion, c'est le principe de communication et diagnostic à distance.
Afin de réduire la pollution de l’air due au trafic routier, le « Groupe californien sur les Ressources de l’Air » (CARB) a introduit en 1988 avec OBD (diagnostiques intégrés) des limites d’émissions strictes et un auto-contrôle (OBD) des émissions des composants significatifs grâce à des équipements électroniques. Afin d’informer le conducteur d’un disfonctionnement du circuit de contrôle des émissions vérifié par l’OBD, un signal lumineux d’erreur a été installé sur les véhicules (ILD : Indicateur Lumineux de Disfonctionnement).
L'E OBD et le J OBD
En Europe, la directive 98/69EG ordonne que les voitures essence soient équipées avec ODB depuis 2000, les voitures diesel depuis 2003 et les véhicules industriels depuis 2005. L’interface standardisée OBD2 n’est pas seulement utilisée par les constructeurs automobiles pour leur propres diagnostiques de longue durée, mais également par ceux qui dépassent largement les limites légales.
Les véhicules utilitaires et les véhicules GPL/GNL sont concernés au 1 janvier 2007.
Au Japon, c'est un système similaire, le J-OBD, qui est utilisé.
L'OBD II
Depuis 1998, les systèmes OBD des véhicules légers ont été normalisés et développés pour permettre la surveillance de la plupart des systèmes antipollution. Ces systèmes OBD modernes, appelés OBD II, sont maintenant réglementés.
La normalisation a été fondamentale. Règle générale, peu importe le type de véhicule, les systèmes OBD II surveillent maintenant les même composants, utilisent le même langage informatique et appliquent les mêmes critères pour évaluer les systèmes et signaler les problèmes au conducteur et au technicien en réparations.
Le système OBD II surveille les systèmes antipollution et les principaux composants du moteur. Quand un problème susceptible d’entraîner une hausse notable des émissions atmosphériques est décelé, le système OBD fait s’allumer un témoin d’anomalie dans le tableau de bord, le Malfunction Indicator Light (MIL), pour indiquer au conducteur qu’il doit faire vérifier son véhicule par un technicien en réparations. Le système OBD peut surveiller le bon fonctionnement de plus d'une dizaine de dispositifs antipollution en effectuant des vérifications continues ou périodiques de l’état du véhicule et de certains composants.
OBDIII
Qu'en est-il de l'OBDIII? Pour ce qui est de OBDIII, présentement cette norme n'est qu'en phase de discussion, c'est le principe de communication et diagnostic à distance.
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